Features an extensive list of level design tutorials covering principles of gameplay, design, layout and workflows using various games, level editors and game engines.
- software, level editors and game engines for level design
- becoming a better level designer
- ideas, planning and preproduction
- gameplay
- level design creation
- level design workflows
- survival/horror level design
- game industry insights
- interviews
Très intéressante interview par Pierre l'Hopitalier d'un ancien responsable managérial avec qui j'ai beaucoup apprécié travailler :
Dans cet épisode, nous revenons sur quelques expériences, notamment le lancement par passion de son studio de jeux vidéo. Un studio qui cartonne avec un jeu vendu à plus d’un million d’exemplaires. Mais vendre ce n’est pas encaisser et cette aventure s’arrêtera par défaut de paiement des clients... Il ne touchera pas un centime sur le million d’exemplaires vendus !!
J’ai plaisir à revenir également sur son expérience chez OUI.sncf et notamment le rôle qu’il a joué dans la genèse du centre de service nantais. Thomas montera le centre de service from scratch et le quittera quand il atteindra la taille de 500 personnes !
Aujourd’hui Thomas est CTO de HiPay. HiPay est une plateforme de paiement. Nous parlons de roadmap dans une société où les idées et ambitions ne manquent pas.

Née en 1974, Lola Lafon est l’autrice de six romans qui mettent en scène des trajectoires féminines singulières, en interrogeant la violence et les mensonges de la société à leur égard
Une belle citation que j'ai retenu à la fin de ce passionnant entretien :
La célébration actuelle du courage, de la force, met mal à l'aise. Ce ne sont que "femmes puissantes" qui se sont "débrouillées seules" pour "s'en sortir". On les érige en icônes, ces femmes qui "ne se laissent pas faire", notre boulimie d'héroïsme est le propre d'une société de spectateurs rivés à leur siège, écrasés d'impuissance. Être fragile est devenu une insulte. Qu'adviendra-t-il des incertaines ? De celles et de ceux qui ne s'en sortent pas, ou laborieusement, sans gloire ? On finit par célébrer les mêmes valeurs que ce gouvernement que l'on conspue : la force, le pouvoir, vaincre, gagner.
Emmanuel Macron l’a affirmé dès son élection : il veut faire de la France une “startup nation”. Il démontre régulièrement son soutien à la “FrenchTech”, censée représenter la quintessence de l’innovation et de l’entreprenariat. Mais derrière cette ambition, la réalité est bien différente. La France peine à se dégager de l’emprise des GAFAM, comme l’ont cruellement rappelé les déboires de Qwant, le moteur de recherche qui devait supplanter Google. Et l’échec patent de l’application StopCovid en est une énième illustration. Pourquoi la France peine-t-elle à innover et à recouvrir son indépendance numérique ? Comment résister face aux plateformes, sans pour autant exploiter une main d’oeuvre uberisée, et en respectant la vie privée des utilisateurs ?
Pour en parler, nous avons reçu Jean-Baptiste Kempf, l’éditeur du logiciel français le plus utilisé au monde. Il s’agit du lecteur de vidéos VLC, le fameux logiciel au cône de chantier . Open-source, maintenu par la communauté, il est porté par une structure associative. On est bien loin des “jeunes qui veulent devenir milliardaires” dont rêve le Président Macron. Pourtant, le logiciel, né d’un projet étudiant, a dépassé les 3 milliards de téléchargements.
Jean-Baptiste Kempf juge sévèrement, mais non sans humour, l’incompétence des politiques dès lors qu’il s’agit d’innovation. Personnage atypique, on peine à la mettre dans une case. Mais ce qui est certain, c’est que son expérience remet en cause le récit du capitalisme comme moteur de l’innovation.
"nowadays I think the trend is so anti-framework, and so pro-modularization, tiny libraries that all do their own thing. We’ve all become effectively framework maintainers. Not to say everyone’s inventing their own, but we’re like curators now of like this manifest of here’s my thirty dependencies, and no one else in the world will have all thirty dependencies at exactly the same versions that you do. Which means that now the onus is on you to make sure that they all work together correctly"
"It’s like I don’t get any distinct joy out of this anymore, I’m mostly just doing work for people for free, and they don’t really appreciate it because they’re used to it now.
So do I continue out some sort of misplace sense of duty, or do I just quit and leave people in a lurch. I think that’s how a lot of open source projects slowly atrophy and die."
"Right, so if I’m a maintainer I acknowledge that now, after writing this talk and thinking about this a lot is like, okay so this project is a hundred stars, like I really shouldn’t be the only owner on this repo or this NPM library, or this ruby gem. Lets pull in a couple other owners because other people are joining and like oh this project is a thousand stars, like lets look at a code of conduct, a governance model, you know some kinda mission statement for what this project’s about, the core tenants."
"That’s what I see on really successful open source teams. Is giving people a reason to fill those roles that isn’t just about money"
Practice interviews with engineers from top companies, anonymously.
"Every class begins with a babe, in a cafe."
Game Developer magazine EIC Brandon Sheffield examines the definition of an indie developer, noting that the line between small teams and big-budget studios becomes blurrier by the day.
These days, anyone can make a game. Here's how to get started...