ULTRAKILL is a fast-paced ultraviolent retro FPS combining the skill-based style scoring from character action games with unadulterated carnage inspired by the best shooters of the '90s. Rip apart your foes with varied destructive weapons and shower in their blood to regain your health.
The demo is free and the game is great, especially if you liked Quake III Arena and would like a solo challenge.
The developper is a Finnish game design student: https://twitter.com/HakitaDev
He has been interviewed here: https://intothebluesky.com/2020/12/19/interview-with-arsi-hakita-patala/
APE OUT is a wildly intense and colorfully stylized smash ‘em up about primal escape, rhythmic violence, and frenetic jazz.
I really loved this game. It combines a great, original artistic direction, with a solid gameplay. The storytelling is subtle (everything is told through level design, no words), the music is captivating (its tempo matches the action), and the ~30 levels are challenging.
The game is short (a few hours), but really worthwhile!
Due to the game excellent core gameplay loop, I have spent way too many hours trying to beat the last extra level named Break In! 😅

Un jeu d'action-plates-formes en deux dimensions où l'on incarne un samouraï, un assassin à la mémoire vacillante dans les bas quartiers d'une mégalopole néo-noire, La Nouvelle Mecque. Il est question de violence à outrance, d'une mise en scène hypnotique, demandant au joueur de la réaction et de la rapidité d'improvisation.
Un excellent jeu, très inspiré d'Hotline Miami pour l'ambiance et une partie du gameplay. J'ai aussi trouvé que l'histoire et la narration rappelait la série Metal Gear Solid.
Une conférence intitulée “Maintien de l’ordre : du terrain au politique” où deux intervenants étaient à l’honneur : Laurent Bigot, ancien sous-préfet et Bertrand Cavallier, général de gendarmerie ayant quitté le service actif, ancien commandant du Centre national d’entraînement des forces de gendarmerie de Saint-Astier.
La conférence s’est ouverte sur une citation : « Je pardonne à celui qui a tiré, que celui-ci l’ait fait accidentellement ou intentionnellement, mais je ne peux pas pardonner à ceux qui ont donné les ordres ». Une phrase prononcée par un mutilé dans le film « Un pays qui se tient sage », de David Dufresne. Elle montre un homme qui a toutes les raisons d’en vouloir aux policiers, et qui au final n’en veut qu’à la hiérarchie.
Comment se mettent en place les ordres, justement ? En polarisant le débat, sous l'influence du pouvoir, sur la question des bavures, on prend le risque de commettre une erreur : exempter les politiques pour ne charger que les fonctionnaires sur le terrain.
Nos invités étaient appelés à nous expliquer ces rapports de force entre commandement, syndicats, ministères, préfecture, qu’on ne voit pas souvent et qui se gardent bien de se montrer au grand jour.
Explorer ces chaînes de pouvoir, c'est rendre au peuple les moyens de compréhension des choses qui l'oppressent.
[Ces résultats] sont pires que ce à quoi l’on s’attendait […] 66,2 % des jeunes soignants déclarent souffrir d’anxiété et 27,7 % de dépression […]. 23,7 % ont eu des idées suicidaires, dont 5,8 % dans le mois précédent l’enquête.