Daily Shaarli
December 15, 2022
Aujourd'hui, le CNRS l'affirme haut et fort par la voix de son directeur général délégué à la science, Alain Schuhl : « Il n'y a pas de raison que les scientifiques fassent une cession exclusive gratuite de leurs œuvres aux éditeurs ».
Dans cette nouvelle déclaration, le CNRS crante maintenant encore un peu plus ses exigences face aux éditeurs en incitant ses chercheurs à « apposer soi-même la mention "CC-BY 4.0" sur le manuscrit et d’ajouter le lien URL qui décrit la licence CC-BY sélectionnée ».
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A 40-page Bachelor’s degree thesis on the legendary bit-hacking Quake III Q_rsqrt() implementation:
« Dépenses de lobbying en augmentation rapide, débauchage de hauts fonctionnaires, contacts à l’Élysée, partenariats financiers avec des médias, des thinks tanks et des institutions de recherche... Plongée dans la redoutable machinerie de lobbying et d’influence déployée en France par les géants du web Google, Amazon, Facebook, Apple et Microsoft. »
- Les dépenses déclarées de lobbying des GAFAM en France ont été multipliées par trois entre 2017 et 2021, pour atteindre environ 4 millions d’euros annuels.
- Les GAFAM s’assurent en même temps les services de nombreux cabinets de lobbying : au moins 8 à Paris et 10 à Bruxelles pour Google par exemple selon les données des registres de transparence.
- Les lobbys sectoriels du secteur numérique, qui représentent environ 1,5 million d’euros de dépenses supplémentaires de lobbying, comptent tous des GAFAM parmi leurs membres, ce qui empêche de distinguer entre les intérêts du GAFAM et ceux du reste du secteur numérique.
- Malgré les révélations des « Uber Files », la plus grande opacité continue de régner sur les rendez-vous entre dirigeants politiques français et représentants des GAFAM.
- Les GAFAM, à commencer par Google, ont débauché des dizaines d’anciens hauts fonctionnaires ou responsables d’autorités de régulation pour les aider dans leur travail d’influence.
- Les géants du web ont conclu des partenariats avec des think tanks, des médias, des grandes écoles et institutions de recherche représentant des millions d’euros en France.
- Le manque d’expertise et de moyens au sein de l’administration et des services publics permet aux GAFAM de se positionner en partenaires incontournables des pouvoirs publics pour aider à régler les problèmes qu’ils ont eux-mêmes contribué à créer.
Lien direct du rapport : https://multinationales.org/IMG/pdf/gafam_v4.pdf